Dans le cadre de la série "The Work Shift" (en anglais seulement) sur Daily Hive, on discute d’une étude de 2022 d’Ownr sur les entrepreneurs qui ont occupé un emploi en entreprise avant de se lancer en affaires.
Il a été question de RBCx et d’OJO Canada dans BetaKit. On y parle de l’ajout d’OJO Canada à notre portefeuille de solutions résidentielles.
Dans le bulletin Amplify publié par The Globe and Mail, Sierra Bein parle de stress financier. Elle y fait mention du sondage mené par Léger pour le compte de Mydoh et rapporte les propos de Sammer Haq, cheffe, Données et analyse, Mydoh.
Dans le magazine CanadianSME, Shadi McIsaac, cheffe de la direction d’Ownr, discute du profil et des motivations des propriétaires de petites entreprises, de même que des défis et des occasions qui se présentent à eux.
Anthony Mouchantaf, chef, Capitaux, RBCx, a été interviewé dans le balado BetaKit, où il a discuté des nouvelles et des tendances récentes dans le secteur des technologies et du capital-risque.
Pour réussir dans le secteur de l’immobilier, où la concurrence est féroce, il faut faire preuve de dévouement, de détermination et d’une solide éthique de travail. L’époque où l’on recevait des offres multiples supérieures au prix demandé pour une annonce datant de quelques jours est révolue.
Projet Entreprise RBCx, Ownr et GarbageDay ont récemment été mentionnées dans un rapport de McKinsey sur l’avenir du secteur bancaire
Ownr fait l’objet de commentaires sur ce blogue consacré aux finances personnelles.
Ownr, principale plateforme de gestion juridique et des affaires au Canada et entreprise de RBCx, a récemment publié son enquête de fin d’année sur les tendances des petites entreprises canadiennes en 2022. L’enquête a découvert que la plupart des Canadiens ont commencé à envisager l’entrepreneuriat pendant l’étape de leur vie où ils occupaient un poste à temps plein (45,1 %), et que 45,6 % des propriétaires de petites entreprises ont quitté leur emploi pour poursuivre l’entrepreneuriat.
Ils disent que la charité commence par les proches. Bien que Chatting to Wellness soit un organisme à but lucratif, le fondateur a voulu lancer son entreprise axée sur les solutions après avoir constaté que les personnes agées de sa propre famille se sentaient abandonnés en raison de la solitude et de l’isolement.
